Récits
|
Correspondance
|
Bercé par les récits merveilleux que lui racontait sa mère, Jean-Pierre Calloc'h a écrit L'aventure épouvantable de Jeb an Ozac'h-Meur ou conte groisillon, ainsi
qu'un court récit de naufrage: |
Très tôt Jean-Pierre
Calloc'h a entretenu une très large correspondance: avec sa mère, à qui il écrivait régulièrement, avec "son bienfaiteur ", comme il l'appelait, l'abbé Corignet avec ses
amis, lorsqu'il était éloigné d'eux : avec plusieurs personnalités du monde breton,entre autres,M. de Lantivy-Trédion, M Loth. Ecrite le jour de sa mort et retrouvée sur lui, sa dernière lettre.
|
Bleimor se révèle parfois très polémiste dans les nombreux articles qu'il écrit en français ou en breton dans différentes revues.
|
Dans
un souci de réveiller chez les Groisillons l'usage de la langue
bretonne, Jean-Pierre Calloc'h a écrit deux pièces de
théâtre, jouées à l'île de Groix.
La
seconde, en prose bretonne,
|
Dans ses moments libres, J-P Calloc'h menait des recherches sur l'histoire de Groix. Pendant ses vacances, il recueillait, auprès des marins de Groix, les termes bretons offrant un caractère spécial, qu'il a d'ailleurs soumis au professeur de langue celtique du collège de France, M. Loth.
Voici l'étymologie de Groix proposée par Bleimor. Celle-ci fut l'objet d'une polémique entre lui et M. Josse à travers la revue " Le Fureteur Breton", en 1910.
Autre étude, celle des "Pêcheurs bretons en Mauritanie ".
|
Très
tôt J-P Calloc'h a composé des paroles sur des airs bretons
ou français connus ainsi que des cantiques.
Cliquez ici. Egalement musicien, il jouait de la flûte. Quelques
unes de ses commpositions: en 1907, lors du décès de l'abbé Noël, il composa une gwerze en son honneur. |
Récits
|
Correspondance
|